Ce qui se passe sur d’autres sites étrangers…

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Merci pour les infos.

Une peche bien difficile pour Blue33 à Rutland : »Voilà ce qui arrive quand on attrape une baleine !! 33(11) hier en essayant de ramener une truite au nid, trois fois il a essayé de décoller avec elle après être tombé comme une pierre dans l’eau derrière le nid. Lors de sa troisième tentative, il a fait tomber le poisson et s’est envolé vers les peupliers derrière le site de nidification où il a séché ses ailes pendant un certain temps. Environ 15 minutes plus tard, il est descendu à l’eau et a ramassé les poissons morts de la surface et l’a emmené à sa table préférée sur le peuplier tombé. Finalement, il l’a apporté à Maya. »

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C’est un peu long, cependant très intéressant. De plus cela montre que partout il y a des Balbucamés ou des Ospreycamés.

 » Le nom « Loch Garten » a longtemps été synonyme de balbuzard pêcheur, depuis que ce premier couple pionnier a survolé la forêt tourbière et, par chance, a décidé de construire un nid ici dans les années 1950. Ce moment fortuit a commencé le rétablissement du balbuzard pêcheur en tant qu’oiseau nicheur en Grande-Bretagne et en tant qu’espèce, il est devenu de plus en plus fort à travers le pays. Depuis 1959, ce site est à peu près aussi fiable que la pluie un jour férié. Il y a évidemment eu des années impaires où aucun poussin n’a quitté le nid, y compris quelques années consécutives et historiquement, la plus longue période sans aucun jeune à l’envol ici était de trois ans, entre 1985 et 1987. C’est, bien sûr, jusqu’à récemment . Comme nous le savons tous douloureusement, le célèbre nid de balbuzard pêcheur du Loch Garten n’a pas eu de poussins depuis 2016 et au cours des trois dernières années, nous n’avons même pas eu la joie d’un oiseau résident, sans parler d’un couple résident. Après avoir donné au nid une bonne chance de prouver qu’il était toujours un endroit souhaitable, nous avons décidé que quelque chose devait être fait pour essayer de faire à nouveau écho au ciel au-dessus de la forêt tourbière au son d’un balbuzard pêcheur mâle dansant dans le ciel. pour impressionner son compagnon.

C’est ainsi qu’à l’hiver 2019, nous avons demandé à Roy Dennis s’il viendrait nous donner son avis d’expert sur l’état du nid du Loch Garten et de ses environs. Comme beaucoup d’entre vous le savent, Roy a travaillé ici de 1960 à 1964 et a été impliqué avec les balbuzards pêcheurs du Loch Garten depuis – il a même bagué nos deux derniers poussins à l’envol en 2016 – il a donc une bonne connaissance de la façon dont les conditions ont changé que les décennies ont passé. Dans un témoignage écrit donnant ses recommandations, Roy a déclaré qu’au début « le nid d’aigle était dans un grand pin sylvestre, l’un des trois vieux arbres proéminents, sur une butte dans une tourbière. La tourbière contenait des pins sylvestres rabougris dans un paysage humide, mais au fil du temps… la couverture arborée sur la colline a augmenté et, ces dernières années, a atteint des hauteurs qui ont supprimé la nature exposée de l’arbre du nid.

« Les balbuzards pêcheurs préfèrent se reproduire au sommet des arbres qui sont proéminents dans les environs immédiats ; c’est pour leur permettre de voir et de chasser rapidement les prédateurs aviaires, par exemple les autours des palombes, et de donner aux jeunes nouvellement volants des lignes de vol optimales qui évitent de s’écraser dans un feuillage épais. Les vieux éleveurs peuvent s’habituer à empiéter sur les arbres, mais même eux abandonneront les aires de longue date lorsqu’ils seront ombragés. Il est très peu probable que les jeunes couples prospecteurs utilisent de tels nids de « seconde classe ».

Nous avons donc décidé qu’il n’y avait qu’une chose à faire et décidé d’agir pour améliorer les chances que les balbuzards pêcheurs reprennent résidence sur ce site historique en suivant la recommandation de Roy de réduire la hauteur de la canopée des arbres à proximité immédiate du nid. Et puis, comme nous le savons tous, Covid est arrivé et malheureusement, nous avons dû reporter nos plans jusqu’à l’hiver 2021.

Cependant, avant de pouvoir effectuer des travaux, nous avons dû demander une autorisation spéciale à NatureScot et Scottish Forestry en raison des désignations dont le site fait partie (zone spéciale de conservation, zone de protection spéciale et site d’intérêt scientifique spécial). Cela a impliqué quelques visites de sites et un long formulaire de demande, après quoi les deux organismes ont examiné si nos plans auraient un impact significatif sur l’une des désignations et si les avantages potentiels l’emporteraient sur les actions. Heureusement pour les balbuzards pêcheurs, les deux organismes ont convenu avec nous que l’impact ne serait pas du tout significatif sur les appellations et nous ont donné l’autorisation d’effectuer les travaux.

En même temps, nous devenions de plus en plus préoccupés par l’état de l’arbre du nid lui-même. Chaque année, nos intrépides gardiens appuient une longue échelle contre l’arbre et grimpent dessus pour installer les caméras et aussi, si nous avons la chance d’avoir des poussins, pour permettre le baguage des poussins. Ce n’est pas une mince affaire dans le meilleur des cas (je l’ai fait – plus jamais !), mais lorsque l’arbre contre lequel repose votre échelle est retenu par des poteaux télégraphiques et des boulons métalliques et n’a qu’un seul membre vivant, c’est très certainement un défi! Nous sentions que l’arbre vacillait de plus en plus d’année en année, alors avant que l’inévitable ne se produise, nous avons pris la décision de retirer l’ancien nid (dont la plupart était artificiel) et de construire un tout nouveau nid dans un pin sylvestre en parfaite santé, juste à quelques mètres de l’ancien arbre à nids. Encore une fois, cela nécessitait l’autorisation de NatureScot et après un autre formulaire de demande et une visite du site, nous avons été ravis qu’ils aient vu le sens de notre plan et nous aient accordé la permission d’effectuer les travaux.

Mais avant de nous concentrer sur le nouveau nid du Loch Garten, prenons un moment pour réfléchir au vieil arbre et au nid qu’il contenait. En 1981, pour des raisons connues d’eux seuls, le couple résident qui avait usurpé le couple précédent en 1980, décide de changer d’arbres de nidification. L’arbre de nidification original de 1959 n’était évidemment pas à leur goût, alors ils ont construit un nouveau nid, heureusement à quelques mètres de là dans l’arbre de nidification désormais ancien. Ils ont réussi à faire s’envoler deux poussins cette année-là – cela leur convenait évidemment ! C’est ainsi qu’a commencé une nouvelle ère pour les balbuzards pêcheurs du Loch Garten, et celle-ci a été très réussie. Cet ancien nid a réussi l’envol de 60 poussins de balbuzard pêcheur entre 1981 et 2016, dont 25 de notre EJ tant manqué. Il y a eu huit couples réussis et quelques-uns moins réussis. Probablement les plus célèbres et les plus productifs étant EJ et Odin, mais alors qui pourrait oublier EJ et Henry ? Beaucoup, beaucoup de souvenirs heureux de balbuzard pêcheur et de déchirement inévitable aussi. Cela les a bien servis, et nous. Nous avons conservé le panier métallique qui soutenait la charpente du nid comme une sorte d’hommage à l’arbre, tout comme les barbelés entourent encore l’arbre 1959 – 1980. Tout cela raconte une histoire remarquable.

Mais il est temps de regarder vers l’avenir. Alors, qu’en est-il du nouveau nid ? Nous avons sélectionné un grand pin sylvestre à droite des deux vieux arbres de nidification – un emplacement parfait pour un nouveau des res pour les balbuzards pêcheurs et visible depuis le centre. Fraser et Ian, tous deux grimpeurs d’arbres qualifiés et constructeurs de nids de balbuzards pêcheurs expérimentés, ont abattu l’ancien nid mais savaient qu’ils avaient une utilité pour les bâtons, ils ont donc été soigneusement regroupés pour être réutilisés dans le nouveau nid (je trouve cela assez réconfortant à savoir). En tout, il a fallu un peu plus d’une demi-journée pour la démolition et la reconstruction et nous nous sommes retrouvés avec un beau nouveau nid, avec une vue imprenable et un perchoir parfait. Tout ce dont nous avons besoin maintenant, ce sont des balbuzards pêcheurs !

La canopée a été amincie autour du nid, donnant ces lignes de vue et de vol qui sont si importantes pour les balbuzards pêcheurs. Bien qu’il semble plus ouvert sur le site du nid lui-même, la différence est minime par rapport au centre – un œil exercé peut être en mesure de dire que quelque chose a l’air différent, mais c’est toujours une vue bien boisée. La seule chose qui pourrait l’améliorer, c’est bien sûr un nouveau couple de balbuzards pêcheurs et trois (ou avouons-le, même un seul !) poussins rayés de balbuzards pêcheurs.

Afin de donner à tout nouvel oiseau les meilleures chances de s’installer sans être dérangé, nous avons de nouveau demandé l’avis de Roy Dennis et avons pris la décision de ne pas avoir d’infrarouge sur cette caméra (il y a toujours une lumière rouge avec de l’infrarouge et nous ne Je ne veux pas effrayer les oiseaux potentiels). Nous avons également décidé de ne pas avoir de caméra pan-tilt-zoom sur la tour de caméra, juste au cas où le mouvement les concernerait. Nous avons également pris des mesures au centre et mis de fins filets de camouflage sur les fenêtres d’observation (vous pouvez toujours voir à travers elles) et nous ne les ouvrirons pas tant que nous n’aurons pas d’oiseaux sur des œufs. Des volontaires locaux surveillent les nids en dehors des heures d’ouverture pour se prémunir contre les perturbations involontaires des visiteurs curieux et nous avons mis des panneaux aux entrées et sur le chemin indiquant aux gens que la zone est désormais interdite. Donc, nous faisons tout notre possible pour que tous les nouveaux oiseaux se sentent en sécurité, maintenant c’est juste aux oiseaux…

Pour garder un œil sur le nid et surveiller les nouveaux arrivants, consultez la caméra du nid en direct, fournie de manière experte par Wildlife Windows et financée par le Fonds européen de développement régional. RSPB Loch Garten – Caméra en direct sur un nid de balbuzard pêcheur – YouTube

Toutes mes excuses pour le manque d’images – pour une raison quelconque, je n’ai pas pu enregistrer la plupart d’entre elles dans un format utilisable ! Arghhh ! La technologie!

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A Rutland.

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A Boulder. Un(e) balbuzard est arrivé(e) est s’est enfui à l’arrivée du couple d’oies.

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Les Ospreys des U.S.A.

[balbu13Moderateur Messages : 473]

@Chipay : avez-vous demandé au site l’autorisation de publier sur Balbucam ? Il faut faire attention car c’est l’Association qui est responsable le cas échéant…( je parle su texte concernant Loch Garten ). De même pour les photos: une ça relève du droit de la citation, mais 4, ce n’est plus pareil… Bien sûr, normalement, on a affaire à des associations partageuses, mais tout le monde ne l’est pas forcément…

[chipayParticipant Messages : 3 469]

@Balbu. Autorisation demandée et accordée . Ils étaient même  content de voir des Étrangers suivre leur site. Pour votre info , j’ai fait découvrir la Balbucam par mes discussions sur les sites étrangers. Et certain ont même parler de Sylva et Reda avant moi.

[balbu13Moderateur Messages : 473]

Très bien, vous allez pouvoir leur fournir les éléments suivants, que d’autres écossais connaissent bien :
D’autant plus qu’il me semble que cet article est erroné ; pas dans les détails, mais dans l’Histoire :
En 1900, pour faire simple, toute l’Europe était désertée par les balbus, exterminés par les pêcheurs souvent chasseurs, qui voyaient en eux de redoutables concurrents- je l’ai écrit, encore récemment.
En France, les garde-chasse touchaient une prime pour chaque tête de balbu tué, en 1930 encore !et peut-être 1960
En 1927 – bien avant 1950 – !, un milliardaire américain , propriétaire d’une île sur la côte Est
Gardiner s Island, offre à un riche ornithologue écossais, Maxwell R .Knight 4 balbus que Knight ramène en Ecosse dans le dessein de repeupler l’Europe en Balbus. Et il y parvient !
Plusieurs articles relatant cet épisode – photos à l’appui sont parus en 1927 et 1929 dans l’Illustration. ( je les ais dans leur version d’époque)
Donc il convient de bien vérifier tout ce qu’on lit sur Internet !…

[schnokelochParticipant Messages : 189]

À Charlo, la caméra est off jusqu’au retour des balbus. Ils ont mis en place un « goose excluder » probablement assez semblable à celui que l’on peut voir sur le site de Boulder. Ils ont décidé de laisser la caméra off pour éviter les ennuis qu’ils avaient eu l’an dernier. La pose du « Goose excluder » leur avaient valu une pluie de commentaires désagréables et même une plainte auprès des autorités locales pour mauvais traitement des oies.

Si Charlotte et Charlie reviennent, ils sont attendus dans le courant de la première semaine d’avril.

Par ailleurs, à Decorah, un couple d’oie s’est approprié un nid d’aigle abandonné et a pondu le premier œuf. Le couple habituel d’aigles de Decorah est installé sur un autre nid et a commencé à couver.

[chipayParticipant Messages : 3 469]

Mme G est revenue à Glaslyn (Pays de Galles).

[chipayParticipant Messages : 3 469]

Je n’arrive pas à modifier mon message précèdent. Donc Mme G a était vu pour la première fois à Glaslyn en 2003;

[chipayParticipant Messages : 3 469]

Je ne sais pas comment fonctionne les saisons en Finlande (hormis le temps de lumière) mais là-bas cela ne ressemble pas au printemps.

Dans mes notes de l’an dernier, j’ai des retours de balbuzards entre le 9 et le 18 avril.

[schnokelochParticipant Messages : 189]

@chipay

La Finlande n’est pas la seule région avec une météo étrange ces derniers temps. À Decorah (Iowa), les Bald Eagles couvaient sous la neige lundi dernier. À Boulder, le plan d’eau n’est dégelé que depuis une semaine et il a encore gelé avant-hier.

Par ailleurs, je viens de tomber par hasard sur un couple de Balbuzards sur un nid situé dans le James River Park. Sauf homonymie trompeuse, ce parc est situé dans le centre ville de Richmond en Virginie. Caméra en direct https://www.youtube.com/watch?v=gYmoTu6zS1Y

Chipay, connaissiez-vous ce nid? pouvez-vous confirmer son impantation? Merci

 

[schnokelochParticipant Messages : 189]

À Sarralbe, deuxième oeuf pondu cet après-midi

[chipayParticipant Messages : 3 469]

@schnokeloch, en effet c’est à Richmond (Virginie). Le couple se nomme Maggie et Walker. L’an dernier la caméra était en panne et il y a eu 3 juvéniles à l’envol. Photo de l’année dernière que j’ai eu par mail.

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