- Ce sujet contient 162 réponses, 27 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Lorenz41, le 06/09/2024 15:25.
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Messages
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Jean-Marie
- Messages : 1 988
Cet après-midi, à peu près au même endroit et au même moment de la journée, un Balbuzard chargé qui « monte au ciel »…
Mais par miracle, aujourd’hui il fait beau et je peux prendre quelques bonnes photos dont voici la première :
Bagué au tarse gauche, il doit s’agir encore de Reda !
liliane
- Messages : 2 173
Super, merci jean-Marie.
Jean-Marie
- Messages : 1 988
« Colibri » demande : « Sans camera sur le nouveau nid, comment est-il possible de connaître le nombre de petits ? »
Nous savons où est le nid de report, mais ne pouvons pas l’approcher en période de reproduction sans dérangement, ce qui est exclu.
Mais il peut être observé depuis le sud de la Loire, d’où l’observation rapportée…
Colibri
- Messages : 78
Le point d’observation est suffisamment haut pour surplomber le nid ?
Ou est-ce que les petits sont déjà assez grands pour venir se montrer au bord du nid ?
Jean-Marie
- Messages : 1 988
La seconde hypothèse est la bonne !
Jean-Marie
- Messages : 1 988
La vue du nid de report, photographié par un ornithologue ami :
Il y aurait « au moins » deux poussins…
liliane
- Messages : 2 173
Merci Jean Marie, vu sous cet angle on croirait que le nid se situe à l’extrémité d’une branche. Dans tous les cas, c’est super de savoir que la reproduction ait réussi
Tyto alba
- Messages : 295
Bonjour à toutes et à tous, les informations se précisent et sont plutôt bonnes, ce ne sont pas 2 mais 3 poussins présents dans le nid de substitution de Sylva et Reda.
Jean-Marie
- Messages : 1 988
Excellente nouvelle… Merci Ali Baba !
Colibri
- Messages : 78
Super bonne nouvelle, et contente de les voir !
Il semble qu’il y ait beaucoup moins de gros bois sur ce nid par rapport à l’ancien. Et il semble aussi plus susceptible d’être malmené en cas de gros coup de vent. Plus qu’à croiser les doigts !
chipay
- Messages : 3 473
MERCI de ces bonnes nouvelles. Sylva et Reda que la quiétude reste sur ce nid.
Pour le nid, je pend que c’est la vue plongeante. Je reste persuadée que Sylva et Reda ont fait le nécessaire pour le bol du nid et les côtés pour protéger les oisillons et qu’ils puissent grandir en sécurité.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 mois et 2 semaines par chipay.
Alban
- Messages : 182
Quand j’ai pu y passer lundi 3 juin, quelques minutes aux heures chaudes avec turbulences thermiques, il m’a bien semblé voir 2 poussins et certainement 3 planqués sous les ailes de Sylva qui les protégeait du soleil. Ils semblaient avoir une vingtaine de jours selon les têtes entrevues.
« Chaleur » lundi midi, en comparaison avec notre chouette printemps.
En revanche, j’ai découvert une belle aire délaissée en massif forestier domanial et certainement la conséquence de la météo sans exclure un cas de prédation inter spécifique non identifié. Le couple était sur place en train de commencer une ébauche d’un autre nid.
Une substitution d’occupation, car l’été sera long pour ces deux individus qui n’auront pas le temps de « sauver » leur saison de nidification 2024.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 mois et 2 semaines par Alban.
Alban
- Messages : 182
Ce même nid que j’avais dessiné sur place en 2022, en sachant pertinemment qu’il ne ferait pas partie des aires sauvegardées sur du très long terme. La parcelle est exploitée , il reste quatre vieux pins en plein cagnard au milieu d’une régénération / plantation dont le seul pin support qui est complètement mort actuellement. J’ai une hypothèse qui est assez crédible pour expliquer le dépérissement accéléré de ces arbres porteurs d’aires…
Les élagueurs qui montent souvent en juin pour attraper les jeunes afin que le bagueur les équipe au sol, montent exclusivement avec des griffes attachées à leurs jambes et chaussures. Deux aller-retours par an très souvent. L’état des différents pins morts porteurs est vérifiable sur 10 aires minimum en forêt d’Orléans.
A part cela le fait de « conserver » 4 pins après l’exploitation complète d’une parcelle, est un moindre mal pour permettre uniquement au Balbuzard pêcheur de continuer à nicher sur sa parcelle naturellement choisie. Or l’exposition brusque au soleil, la sécheresse et les agressions extérieures dues à ce phénomène ne peuvent qu’aggraver leur stress, puis leur santé.
Couple de Balbu avec poussins en 2022 en F d’Orléans. (nid en photo posté précédemment)
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 mois et 2 semaines par Alban.
Colibri
- Messages : 78
Est-ce que vous commencez à voir les petits s’exercer voire même s’envoler ? (je n’ai plus de repères de timing !)
Jean-Marie
- Messages : 1 988
Pour le moment, pas d’informations supplémentaires disponibles…
Pour des raisons économiques, nous avons décidé d’arrêter le « En direct » le 15 juillet prochain : il est devenu inutile (et plutôt dysfonctionnel !).
Les forums, et en particulier le Forum principal par contre vont continuer à fonctionner… Et nous espérons pouvoir vous offrir comme les années précédentes quelques jolies photos « hors champ »… Notamment des « digiscopies » de Reda posé sur « sa » branche d’un peuplier de l’île des Baffaits en face du Mont. (Et pour celles ou ceux qui en sont friands, de nouvelles protos de Loriots !).
A suivre !
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